Le site Catherine a été lancé en septembre 2008 

 


 

La Dame de Montsalvy - Première Edition 1979 en France par Editions Trévise

le seul livre du série où il y a la date à la fin du tout dernier chapitre : Saint-Mandé, 3 septembre 1978



Dans l'extrait ci-dessus d'un article de 1972, la romancière parle des deux prochains romans de la saga Catherine qui s'est achevée en 1968 avec Catherine et le temps d'aimer - le seul Catherine roman avec un épilogue ! Il s'agissait pour elle de montrer à ses lecteurs la réalité de la vie des femmes à l'époque de la "guerre de cent ans" !



 
Nous voyons sur la photo Juliette Benzoni avec sa chère machine à écrire sur laquelle elle a écrit tous ses best-sellers.

Ne manquez pas la page complémentaire avec quelques numéros originaux du magazine Confidences avec Catherine en feuilleton. 

La dernière réédition 2015 par Pocket

l. Il suffit d'un amour : première partie & Il suffit d'un amour deuxième partie
2. Belle Catherine
3. Les Routes incertaines (Catherine des grands chemins & Catherine et le temps d'aimer)
4. Piège pour Catherine
5. La Dame de Montsalvy
 




traduit en anglais le 1 juin 2021 - plus de quarante ans après... ! Traduction par Linda Compagnoni Walther et Stephen James Walker, Telos Publishing



Les couvertures Catherine et Internationales (31 pays) voir mes pages spéciales



Ballade de Catherine -  texte de Juliette Benzoni -  Compositeur Paul AWAR - chantés par : Bernard Stéphane et Michèle Arnaud



La presse concernant la série Catherine ICI ou la page de résumé  ICI




Adaptation Cinématographique en 1968 Catherine, Il suffit d'un amour

Réalisateur Bernard Borderie.

Monsieur Bernard Borderie, le même homme qui avait déjà réalisé les films Angélique d'après les livres d'Anne Golon. Juliette a été extrêmement déçue par le produit final, car ils avaient transformé son histoire en une manifestation politique, inspirée par les émeutes de 1968 à Paris ! L'histoire originale n'était plus reconnaissable ! Je ne peux qu'être d'accord avec elle.

Musique par Michel Magne
qui avait déjà composé la musique des films d'Angélique.

    


 

Catherine,Il suffit d'un amour adapté à la télévision 1985

Catherine, Il suffit d'un amour - série télévisée - diffusée le 19 mars 1986 à la télévision française.
 
Co-Production Antenne 2 - SFP

Réalisatrice Marion Sarraut

Adaptation Juliette Benzoni & Jean Chatenet
(écrivain français, auteur et producteur de radio et de télevision)

Générique de
Robert Viger




Le tournage concernant Catherine, il suffit d'un amour ICI

 


L'histoire de Catherine - présentée dans la série télévisée (depuis 2007 les DVD par France Loisirs) ICI




Portrait de la réalisatrice par Marion Sarraut par webmaster Linda

Marion Sarraut's DIRECTOR CUT → ICI

 

Synopsis : La Dame de Montsalvy

Dans cet ultime livre de la série... Catherine doit non seulement faire face à la peur, le meurtre et l'horreur de la guerre ..., mais aussi à un piège déloyal, qui la sépare de son  mari bien-aimé Arnaud de Montsalvy. Elle doit l'abandonner, gravement blessé,  dans  le camp du Damoiseau de Commercy. Elle trouve refuge dans le château de son  amie  la Comtesse Ermengarde à Châteauvillain. Le château est assiégé par l'écorcheur  le Damoiseau de Commercy, Robert de Saarebrück.

Pendant ses longues heures d'impuissance, elle réfléchit sur cette avalanche d'événements - c'est sans aucun doute le plus cruel qu'elle ait vécu jusqu'ici. Les attaquants  disparaissent soudainement, laissant derrière eux le feu et le sang. Catherine commence  une nouvelle vie, suivant une route difficile dans l'espoir d'une victoire et du bonheur. Elle veut désespérément rentrer chez elle à Montsalvy. Elle se languit de voir ses adorables enfants - de qui elle n'a aucune nouvelle depuis des mois - et d'être réuni à Arnaud, qu'elle aime toujours malgré tout qui est arrivé à leur dernière rencontre.

Mais le voyage va être long et difficile. Le Roi René d'Anjou a été fait prisonnier par le Duc Philippe de Bourgogne. En chemin vers Dijon pour sauver le Roi René (et lui donner  la lettre qu'elle apporte au nom de la Reine Yolande, sa mère) elle tombe dans  un  piège atroce tendu par l'ignoble Robert de Saarebrück

Pour fuir son désespoir, Catherine, escortée de son fidèle page Béranger  et de son écuyer Gauthier de Chazay, va détourner sa route vers des horizons inattendus  - La Lorraine, le Luxembourg et les Flandres. Elle y croise alors le Duc Philippe de Bourgogne, qui aime toujours Catherine.

Après une long et difficile rétablissement, elle est impatiente de retourner enfin chez elle, vers ses enfants, ses vassaux dans les montagnes d’Auvergne... mais qu'est ce qui l'attend là-bas ?

 

Les principaux personnages





 

"Vous n'êtes ni stupide ni attardée, mais vous avez beaucoup trop souffert. Or, l'angoisse et les pensées claires n'ont jamais fait bon ménage. Alors, fiez-vous plutôt à nous, notre dame! Vous savez bien que nous serions capables d'aller jusqu'en enfer si nous pensions, qu'il était possible d'en ramener votre seigneur époux et, en même temps, un peu de bonheur! Courage!

Gauthier de Chazay à Catherine de Montsalvy

 
"Je suis la comtesse de Montsalvy et je viens voir mon oncle Mathieu! Conduisez-moi vers lui!... « La révérente mère abbesse que vous venez de vous permettre de jeter dehors est ma soeur. Je tiens à vous faire savoir que vous aurez beaucoup plus de mal à vous débarrasser de moi!

Catherine de Montsalvy à Amandine La Verne

 
"Dois-je continuer, Sire? Vous m'avez ordonné, il me semble, de me déshabiller... exactement comme si j'étais une ribaude amenée ici pour votre plaisir, et non la messagère de votre mère?"

Catherine de Montsalvy au Roi René d'Anjou

 
"Arnaud!... Arnaud, je reviens... ne t'en va pas... Attends-moi, mon amour!... attends-moi... Je veux rentrer...à la maison!"

Catherine de Montsalvy, parlant dans son sommeil

 

"Mon Dieu, suis je sotte! Mais bien sûr nous nous connaissons! D'ailleurs, vous êtes trop belle qu'il soit possible de vous oublier, Madame. Nous nous sommes vues, n'est-ce pas, à la cour du roi Charles?"

La fausse Jeanne à Catherine de Montsalvy

 

"Vos yeux rouges! Vous avez pleuré... et pleuré récemment. Lorsque je vous ai connue vous ne pleuriez jamais! Il est vrai que le seigneur Arnaud ne vous avait pas encore fait l'immense honneur de vous prendre pour épouse!"

Jean Van Eyck à Catherine de Montsalvy

 

"Souffrez que je vous arrête, Monseigneur! Dans une seconde Votre Altesse va me traiter d'espionne."

Catherine de Montsalvy au Duc Philippe de Bourgogne

 

"Je veux que tu m'aimes, que tu m'aimes une dernière fois comme tu savais si bien m'aimer jadis! Je veux te donner cette nuit tout entière... et je veux savoir si l'amour d'un homme peut encore me faire éprouver autre chose que l'horreur!...

Catherine de Montsalvy au Duc Philippe de Bourgogne

 

"J'ai cet honneur pour l'avoir vu combattre deux fois: un fois à Azincourt et un autre fois à Arras en champ clos! Un rude jouteur, un grand guerrier... et le plus abominable caractère que je connaisse!"

Jean de Saint-Rémy à Gauthier de Chazay -  en parlant d'Arnaud de Montsalvy

 

"Je ne suis plus votre maîtresse. Souvenez-vous, Philippe! A Lille je vous ai bien dit qu'il s'agissait d'un adieu... définitif! Je n'ai pas l'habitude des adieux successifs."

Catherine de Montsalvy au Duc Philippe de Bourgogne

 

"Je ne suis pas venue faire une révolution, Gauberte. Je suis venue reprendre ma place et je la reprendrai, croyez-moi!"

Catherine de Montsalvy à Gauberte

 

"On dirait que vous avez des invités? messire! Mais il faudra que vous leur trouviez un logis autre que celui de notre Dame. Il n'est pas disponible..."

Sara à Arnaud de Montsalvy

 
"Je dirai même qu'il l'aime trop et que cet amour empoisonne sa vie parce qu'elle l'oblige à ne pas penser qu'à lui seul, à sa vie d'homme de guerre, aux grandes actions héroïques, à toute cette existence fracassante qui est celle des seigneurs de notre ciècle. Sa Catherine, il la porte plantée en lui, au plus profond de sa chair comme un carreau d'arbalète aux barbes trop larges.

Josse Rallard à Gauthier de Chazay

 

"Il n'est pas question de vous, Arnaud de Montsalvy, et je l'ai déjà dit! Il est question de deux femmes, d'une sourtout... à qui vous n'aviez vraiment donné aucune raison valable de se sacrifier pour vous! Venez ici, Dame Catherine! Venez près de moi, mon enfant... ma pauvre enfant!

L'Abbé Bernard à Arnaud de Montsalvy

 
"Mais tais-toi! tais-toi donc! Pourguoi me dis-tu tout cela? Qu'ai-je à faire de pardoner...de régner... d'être seule. Il n'y a qu'une chose, une seule que je veuille entendre de toi; je veux savoir ce que je suis pour toi? Je veux savoir si tu m'aimes encore?"

Catherine à Arnaud son époux

 

"Ma douce... mon incomparable! T'aimer? Mais je t'ai adorée toute ma vie et je ne cesserai jamais de t'aimer... Jamais! Tant qu'il me restera une pensée, un souffle, je t'aimerai...

Arnaud à Catherine

 
"Pourquoi dis-tu notre cruelle histoire? Moi, je l'ai trouvée belle ! Et pourquoi en parles-tu au passé ? Sommes-nous si vieux ? Es-tu bien sûr qu'elle soit finie?...

Catherine à Arnaud - Huit jours plus tard, regardant le feu dans leur salon du Château

 
"Je l'espère! Il faut qu'il en soit ainsi, même si parfois le regret des grands chemins te prend. Il le faut parce que les gens heureux n'ont pas d'histoire et qu'à présent je veux être heureux, entre toi et nos enfants. Je ne veux plus être qu'heureux!

Arnaud à son épouse bien-aimée

Fin
Saint-Mandé 3 septembre 1978








retour à la page séries de livres→ ICI



non profit site
tous droits réservés
© 2008 - 2024 linda compagnoni walther