La
petite
peste et
le
chat botté 2015
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synopsis : La petite peste et le
chat botté
Le nouveau roman de Juliette Benzoni met en
scène la duchesse d’Abrantès,
figure de la vie
parisienne par sa
beauté, son esprit
caustique et son
extravagance. Mariée au
général Junot, qui la
trompe avec Caroline
Bonaparte, dame
d’honneur de Madame
Mère, l’empereur
Napoléon la surnommait
affectueusement « la
petite peste »
Eté 1807 : Que fait dans la cour de l'Elysée et
en plein en nuit la voiture du Général Junot, et
qui est cette jeune et ravissante femme en train
de perdre patience à l'intérieur ? Liée depuis
l'enfance à la famille Bonaparte, Laure Martin
de Permon, d'origine corse et grecque n'a encore
jamais réussi à démêler si elle aimait ou
détestait l'apprenti général avec ses jambes
maigres dans ses bottes trop vastes dont un
destin véritablement fabuleux a fait l'empereur
Napoléon Ier ? A seize ans, elle a épousé, par
amour réciproque, le général Andoche-Alexandre
Junot, un homme magnifique doué d'une
exceptionnelle bravoure.
Or, Junot voue à son empereur un dévouement et
une admiration proche de l'idolâtrie. Gouverneur
de Paris, couvert d'honneurs et de richesses,
bientôt duc d'Abrantès, il donnerait sans
hésitation tout cela pour n'être plus qu'un
petit aide de camp attaché nuit et jour à la
personne de son dieu… Ce qui agace
prodigieusement sa femme devenue dame d'honneur
de Madame Mère, une fonction qu'elle ne remplit
pas souvent alors qu'elle est l'amie intime de
la charmante et folle Pauline devenue princesse
Borghèse par mariage.
Les relations ne sont pas, de loin, aussi bonnes
avec Caroline, la plus jeune des sœurs
Bonaparte, devenue grande-duchesse de Berg puis
reine de Naples. Les couteux sont même tirés
entre elle et Laure quand celle-ci découvre que
son mari est l'amant de Caroline, que celle-ci
s'en vante volontiers et qu'elle a entrepris de
pourrir la vie de sa rivale. Autre souci :
Napoléon depuis la dernière campagne semble
prendre soin d'éloigner peu à peu Junot de son
entourage immédiat, ce qui met le malheureux à
la torture.
Un sujet de conversation fréquent entre
l'Empereur et celle qui, depuis l'affaire du «
Chat botté », il a surnommé la « Petite peste ». |
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E-book - Format Kindle...
Amazon.fr.
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♣
détail intéressant
:
Editions
Libra Diffusio
Éditeur de livres en gros
caractères depuis 1998
synopsis Editions Libra Diffusio 2016
Figure incontournable
de la vie parisienne sous l’Empire, Laure,
duchesse d’Abrantès, est l’ennemie jurée de
Caroline Bonaparte, la maîtresse de son mari.
D’une grande générosité envers la duchesse,
qu'il surnomme affectueusement « petite peste »,
Napoléon entretient avec elle des relations
teintées de séduction et d’affection. D’une
écriture enlevée et divertissante, on se délecte
des intrigues à la cour de Napoléon. |
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détail intéressant
:
L'Edition de France Loisirs 2016
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détail intéressant
:
L'Edition
de POCKET 20 septembre 2018
La « Petite Peste », c’est
elle : Laure Junot, duchesse d’Abrantès et femme
de général, grande figure du Paris impérial. Le
« Chat Botté », c’est Bonaparte, ainsi surnommé
par elle lorsque, frais émoulu de l’école
militaire, il lui parut bien trop maigre pour
ses grandes bottes.
Ces
deux-là se connaissent depuis longtemps. La
gloire les a portés, l’un et l’autre, aux
sommets. Il n’est pas jusqu’à leurs peines de
cœur qui ne soient liées, d’une manière ou d’une
autre. Et qui décident, entre alcôves de palais
et arcanes du pouvoir, du destin de l’Empire… |
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détail intéressant
:
résumé
du club l'ActuLittéraire
Ses yeux en amandes faisaient chavirer les
coeurs
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Le comité a aimé ...
Depuis des décennies, les livres de Juliette
Benzoni, qu'il s'agisse de sagas, de romans ou
de documents, sont abonnés au succès. Pareil
engouement s'explique aisément : quelques pages
suffisent à l'auteur pour planter un décor
historique éclatant de vérité et faire évoluer
le lecteur, à l'aide d'une plume truculente,
dans un passé lointain, tout d'un coup si proche
de nous.
Elle est en
quelque sorte l'héritière d'Alexandre Dumas, ce
qu'elle prouve une fois de plus en brossant
l'éblouissant portrait de Laure Junot, duchesse
d'Abrantès, écrivain de renom, dont les écrits
nous amènent à côtoyer de grandes figures du
début du XIXe siècle (Napoléon Bonaparte, le
comte de Metternich, Honoré de Balzac...).
Juliette Benzoni évoque aussi les passions de
Laure, les jalousies qu'elle suscite, ses
accointances intellectuelles, ses déboires
financiers, n'omettant ainsi aucune facette du
personnage. Une lecture captivante, qui rend un
hommage émouvant à l'une des belles femmes de
l'histoire de France. |
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détail intéressant
:
Grandeurs et décadence
d'une duchesse
Quelles
PLUMES spécial histoire
par Monsieur Vincent Meylan (Point
de Vue)
extrait :
Madame d'Abrantès desendait des empereurs de
Constantinople, par sa mère, née Commène. Il semble
d'ailleurs que cette ascendance dont certains se
plaisaient à se gausser, n'était pas dénuée de
fondements historiques....
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détail intéressant
:
création et extrait de La petite peste et la
chat botté
Dialogue entre la
Duchesse d'Abrantès et son époux Général Junot
— Pardonne-moi,
ma chérie, mais il est indispensable que tu sois à mes côtes ce soir.
Songe donc que ce fichu traité de Tilsit nous amène la paix ! La paix,
Laurette, et moi je ne sais rien faire d'autre que la guerre !
— Oh, je te fais confiance, tu
trouveras bien un moyen quelconque pour te distraire. C'est tellement
beau, la pais !
— Jusqu'ici, je ne l'ai pas beaucoup
connue... et elle ne me tente pas !
— Va raconter ça aux mères de famille
ou aux épouses de ces petits soldats dont notre « Chat Botté
» compose...
La voix de Junot tonna :
— Je te défends de l'appeler ainsi ! Ce
n'est pas parce qu'il t'a connue encore enfant que tu as le droit de
t'en moquer ! C'est l'Empereur ! Le maître de l'Europe ! Nous lui devons
le plus profond respect ! Surtout une gamine comme toi ! Et mets-toi
bien dans la tête...
—... que ton grand homme voulait
épouser ma mère, ce qui aurait fait de toi son gendre, de moi sa
belle-fille et des enfants...
—Ça
suffit ! J'ai horreur de t'entendre plaisanter avec ça ! Je ne sais pas
qui a osé...
—Mais tu le sais parfaitement : ma sœur
Cécile, le jour où, frais émoulu de l'école militaire, il est arrivé
chez nous sur ses petites jambes maigres flottant dans des bottes trop
vastes pour lui. En ce qui me concerne, j'ai tellement ri qu'il m'a
traitée de « Petite Peste » ! Je n'en ai pas fait un roman... |
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